Depuis la Révolution française et la reconnaissance d’une justice spécifique pour les plus jeunes d’entre nous, l’histoire de la justice des mineurs semble sujette à de grands mouvements de balancier, entre le désir de protéger le jeune et celui de protéger la société. L’historien Mathias GARDET présente cette alternance entre l’éducatif et le répressif.

